Cette histoire fait partie de notre série sur la longévité de la peau présentant des experts de l’industrie, des spécialistes d’avant-plan, ainsi que des scientifiques et innovateurs qui changent notre manière de penser à propos du vieillissement.
Approfondissez vos connaissances sur la recherche révolutionnaire d’Estée Lauder en matière de science de la longévité de la peau, et bénéficiez de conseils d’experts sur la façon d’adopter un art de vivre axé sur la longévité.
Vous avez probablement entendu le terme « espérance de vie » un million de fois tout au long de votre vie. Mais avez-vous déjà entendu « espérance de vie en bonne santé »? Alors que le désir de façonner un art de vivre axé sur la longévité continue à augmenter, il en va de même de l’intérêt de l’espérance de vie en bonne santé.
Qu’est-ce que l’espérance de vie en bonne santé, précisément? En quoi est-ce différent d’une espérance de vie et, surtout, comment les deux sont-ils liés ?
Le Dr Mark Lachs, spécialiste du vieillissement, a consacré sa carrière à la recherche, aux soins et à la défense des patients, afin qu’ils vivent et s’épanouissent davantage. Découvrez le guide du Dr Lachs sur l’espérance de vie en bonne santé par rapport à l’espérance de vie, et profitez de ses conseils pour vous créer un art de vivre axé sur la longévité, afin de bien vieillir.
Pouvez-vous expliquer la différence entre espérance de vie en bonne santé et espérance de vie? En quoi les deux sont-elles liées?
Dr. Lachs : L’espérance de vie n’est qu’un nombre. C’est le nombre d’années que vous vivez. L’« espérance de vie en bonne santé » correspond à la durée pendant laquelle vous vivez avec toutes vos capacités fonctionnelles intactes (physiques, mentales, émotionnelles, sociales) et à la durée pendant laquelle vous pouvez faire tout ce que vous voulez faire.
À mesure que votre âge chronologique augmente, l’objectif est d’aligner l’espérance de vie en bonne santé avec l’espérance de vie. Quand l’espérance de vie en bonne santé est aussi longue que l’espérance de vie, cela signifie que vous profitez de votre vie sans une diminution significative de vos capacités fonctionnelles.
Quelles devraient être les principales réflexions d’une personne lors de l’élaboration d’un art de vivre axé sur la longévité ?
Dr. Lachs :
Élaborer un art de vivre axé sur la longévité ne devrait pas être complexe :
- L’exercice et la mobilité sont cruciaux. Allez-y, bougez! Il n’est pas nécessaire d’être triathlète. Une mobilité modérée, comme la marche quotidienne, est tout à fait acceptable. Ce qui est en mouvement reste en mouvement. Nous, les spécialistes du vieillissement, nous plaisons à dire « bouger c’est la santé ».
- Un régime à base de plantes est formidable, mais si ce n’est pas pour vous, tout ce qui fonctionne pour maintenir un poids corporel idéal, sans trop de gras insaturés, convient également. Je me plais à parler de « modération excessive ». Il en va de même pour la consommation d’alcool.
- Restez impliqué socialement. On ne peut pas avoir trop d’amis. Solides réseaux de soutien social et longévité sont hautement associés.
- Découvrez et convoitez trois éléments qui donnent un sens et un but à votre vie. Cela peut être voyager, la musique, le bénévolat, etc.
Quel serait votre meilleur conseil pour bien vieillir? Quand les gens devraient-ils commencer à s’intéresser à la longévité/vie saine ?
Dr. Lachs : Il n’est jamais trop tôt pour commencer. De nombreuses fonctions corporelles déclinent avec l’âge18, mais subtilement. Vous pouvez y échapper en développant, tôt, de bonnes habitudes, et en apportant de petits changements. J’aime prendre l’exemple d’un navire qui se dirige vers un iceberg. Si le navire commence à tourner assez tôt, un degré à la fois, il peut éviter l’iceberg.
Qu’est-ce qui se profile à l’horizon quant à la science de la longévité?
Dr. Lachs : De surprenantes avancées, comme la capacité de mesurer le taux de vieillissement par le sang ainsi que d’autres tests. En plus de l’utilisation de la technologie, comme les dispositifs portables et les montres intelligentes plus sophistiquées pour surveiller le vieillissement, combinée à ces tests. Nous pourrons ainsi évaluer l’influence de divers éléments sur le taux de vieillissement.
Qui plus est, nous observerons davantage de recherches scientifiques sur les « protéines de longévité ». Cela pourrait permettre une espérance de vie et une espérance de vie en bonne santé plus longues, ainsi que la découverte de nouvelles façons d’essayer d’influencer (et non d’arrêter) le rythme du vieillissement.
